Paul Claudel, Correspondance Henri Pourrat-Paul Claudel (1990) “ HENRI POURRAT A PAUL CLAUDEL Ambert - Chandeleur [2 février] 1930 Mon cher Maître Vous faites à Champs un honneur que je n'oublierai jamais. Merci de me donner ce texte magnifique, magnanime (1) . Voilà bien l'arbre, enfoncé si avant dans le réel, dans ce qui est, tenant dans ses racines toute la terre profonde, et haussé, tourné comme un bouquet vers la lumière (2) . Connaissance des civilisations et de la vie (3) . On parle de socialisme, de communisme ; mais on en parle surtout contre ceci ou contre cela. Qui est-ce qui a encore le goût « des choses qui existent ensemble » ? ” [↩︎] Source : Gallica ▶︎
“ Aux yeux de Claudel et de Pourrat, l'activité poétique en effet ne saurait se réduire à un exercice imaginatif ou à un jeu verbal. Elle n'est pas non plus simple « imitation de la vie », mais effort pour « réaliser ce qu'elle ne fait qu'indiquer », la « retrouver » et la « faire aboutir », action simultanée de « connaissance » et de « création » (44) . Comme l'avait admirablement compris Pourrat en paraphrasant Claudel, il n'est « qu'un Art poétique » (45) , où se confondent en un seul mouvement la création littéraire et la compréhension du monde. ” [↩︎] Source : Gallica ▶︎
Bibliothèque nationale, Paul Claudel… (1968) “ « Ce qui fait que Claudel touche tant d' hommes pourtant étrangers à ses croyances, c'est qu'il est un des rares écrivains français qui aient rendu sensibles le tintamarre et la prodigalité du monde. » Rien n'en témoigne mieux que le Soulier de Satin, où le salut vient à travers les catastrophes et dans l'échec même, où l'absurde traverse ou renverse le rationnel comme le comique trouble ou dissout le tragique et comme l'humour corrige et assourdit le lyrisme. ” [↩︎] Source : Gallica ▶︎
Joseph Huby, La conversion (1919) ⮑ “ Déjà chrétien au fond de l'âme, Paul Claudel hésite à passer à la pratique. « L'avouerai-je? Au fond le sentiment le plus fort qui m'empêchait de déclarer mes convictions était le respect humain. La pensée d'annoncer à tous ma conversion,de dire à mes parents que je voulais faire maigre le vendredi, de me proclamer moi-même un de ces catholiques tant raillés, me donnait des sueurs froides2. » Plus d'un nouveau chrétien aura à cœur de réparer ouvertement ces faiblesses passées et par la profession retentissante de son catholicisme de rendre courage à ceux qu'arrêtent d'enfantines terreurs. ” [↩︎] Source : Gallica ▶︎
Paul Claudel, Correspondance Henri Pourrat-Paul Claudel (1990) “ Dans l'œuvre de Claudel, Pourrat avait enfin reconnu la vision d'un univers « catholique » au sens d'universel, unitaire et total où l'employait l'auteur des Cinq Grandes Odes et du Soulier de Satin. C'est cette « catholicité », ce désir latent de « F 'Eglise » à constituer que Claudel décelait dans la propension générale au rassemblement, « ce besoin qui attire les hommes les uns vers les autres » (lettre 3) . ” [↩︎] Source : Gallica ▶︎
Jacques Rivière, Études… “ Claudel a compris l'union étroite, l'interpénétration de l'âme et du corps, et il a trouvé le rythme dont ils sont, l'une et l'autre, en même temps animés. Son vers est ce rythme, le plus naturel, le plus essentiel qui soit; il se soulève et s'abaisse avec la poitrine dont les mouvements reproduisent à leur tour les pulsations intérieures de l'être. La vie naît et meurt sans cesse: la parole suit son alternatif et perpétuel battement. ” [↩︎] Source : Gutenberg ▶︎
Manuel illustré de la littérature catholique en France… (1925) ⮑ “ L'art de Claudel est un art qu'il faut accueillir tel qu'il est. C'est un art hermétique et qui exige pour se produire une solennité spéciale et chez les chrétiens une sorte d'état de grâce. On ne l'entend pas, sans s'y être préparé, sans s'être mis dans un certain état de réceptivité et d'attente religieuse. Ne mentionnons que pour mémoire le petit drame rustique ;n Prose, assez touchant mais fort peu extraordinaire, de FRANCIS JAMMES, la Brebis perdue. ” [↩︎] Source : Gallica ▶︎
“ Lisez Huysmans ou Claudel, lisez Jammes, Péguy, Louis Mercier, lisez Robert Vallery-Radot : ce ne sont pas là des âmes de lettrés qui rôdent autour du catholicisme en lui demandant je ne sais quelle aide esthétique ; ce sont des catholiques qui éprouvent le besoin d'extérioriser leur foi par leur plume et de nous dire les merveilles du Credo religieux pour nous exprimer tout en même temps ce qui leur est le plus cher dans leur âme, ce sont des hommes qui se coafessent en confessant Dieu. ” [↩︎] Source : Gallica ▶︎
Bibliothèque nationale, Paul Claudel… (1968) “ Aux yeux de ce contemplateur de l'éternel, les orages de l'histoire, aussi bien que les épreuves fatales des individus, ne sont que des accidents intégrables à une aventure dont le sens est garanti par un projet transcendant. Le dessein de Dieu se tord en lignes courbes ou brisées, mais la phrase est faite, elle est claire et elle va vers sa fin. Il arrive, certes, que ce providentialisme de Claudel déconcerte la raison par la mystique, irrite les coeurs par une résignation trop facile et presque trop dure aux souffrances humaines. ” [↩︎] Source : Gallica ▶︎
“ « Les grands artistes, au lieu de restreindre, aiment à élargir leur clavier, ils aiment à se ménager de tous côtés des effets de contraste, ils savent que rien ne raffraîchit comme la surprise », Claudel gonflait ses voiles du vent de son siècle. Par une autre dimension, qui est encore de consonance mais aussi de contraste, on peut voir une explication à la prise persistante du grand oeuvre claudélien sur la conscience de notre monde. ” [↩︎] Source : Gallica ▶︎
Jacques Rivière, Études… “ Mais dans la vie les événements ne s'entrechoquent pas; ils se développent, ils s'enchaînent, chacun naît d'un autre. La nature se déploie, se déplie lentement et continûment,—explication progressive de l'être.L'Art de Claudel est primitif et continu. Le poète lui-même dit son Art Poétique fondé sur "la métaphore" c'est-à-dire "le mot nouveau, l'opération qui résulte de la seule existence conjointe [Pg 66] et simultanée de deux choses différentes [3] ." ” [↩︎] Source : Gutenberg ▶︎
Manuel illustré de la littérature catholique en France… (1925) ⮑ “ Le scientisme est mort, qui, un moment, avait voulu opposer sèchement la certitude de la science aux prétendus rêves de la foi. Après les conversions éclatantes des aînés, qui avaient montré la route, d'un Brunetière, d'un Coppée, d'un Huysmans, d'un Bourget, voici celles d'un Retté, d'un Claudel, d'un Francis Jammes, d'un Péguy, d'un Psichari. Et l'on voit se créer, riche de sève, pleine de vie — de la vraie vie, qui n'est pas sans l'esprit, — une nouvelle école qui, résolument, se donne pour ambition de faire du catholicisme la nourriture intime de son art. ” [↩︎] Source : Gallica ▶︎
Actes du cinquantenaire de la mort d'Henri Pourrat… (2011-2012) ⮑ “ Mon père n'a jamais eu d'autre métier que celui d'écrivain, et toute sa vie il a énormément travaillé. La langue Plus il a fait confiance à la campagne, plus il a senti la nécessité d'enraciner jusqu'à sa façon d'écrire dans le terreau populaire. Il lui a donc fallu, en véritable artisan de la prose, se forger sa propre langue que Paul Claudel qualifie de Français vivant et savoureux, avec toutes les ressources qu 'il faut, non seulement de force et de verdeur, mais pour la sensibilité, la grâce et l'émotion31. ” [↩︎] Source : Gallica ▶︎
Bibliothèque nationale, 1913… (1983) ⮑ “ Département des Estampes et de la Photographie. A.A. Les hommes de quarante ans 127 Paul Claudel (1868-1955) La Cantate à trois voix. Brouillon autographe. 1911. 1 f. 290 x230 mm. Publ. en partie dans la Revue de Paris, mars 1913, p. 119-132 ; dans la N.R.F., n° 51, 1" mars 1913, p. 394-398 et dans l'Amitié de France, tome VII, 1913, août, septembre, octobre p. 181-185. Éd. orig. Éditions de la Nouvelle Revue Française, 1913. Bibl. Claudel. Oeuvre Poétique. Textes établis et annotés par Jacques Petit. Gallimard, 1967. (Bibliothèque de la Pléiade.) ” [↩︎] Source : Gallica ▶︎
“ Manuscrit autographe, [décembre 1913] 2 ff. 211 x 135 mm. Éd. orig. : Saint-John Perse, OEuvres complètes, Gallimard, 1978. (Bibliothèque de la Pléiade.) Bibl. Paul Claudel, Correspondance Paul Claudel – Darius Milhaud, 1912-1953, Gallimard, 1961 (Cahiers Paul Claudel, 3) ; Paul Claudel, Claudel, homme de théâtre, correspondance avec Lugné-Poe, 1910-1928, Gallimard, 1964 (Ibid., 5) ; Ibid., Théâtre II, Gallimard, 1965 (Bibliothèque de la Pléiade) . Dans cette lettre à Paul Claudel, Alexis Saint-Leger Leger évoque leur rencontre à Hambourg durant l'automne 1913. ” [↩︎] Source : Gallica ▶︎
La Nouvelle Revue Française ⮑ “ La représentation de V Annonce faite a Marie, celle de V Echange, nous avaient déjà fait constater quel accent profond et péremptoire rendent à la scène les drames de Paul Claudel. C'est aussi qu'il s'agit d'œuvres si nourries de vie, si chargées d'humanité, et portées par une force lyrique si sensible, que l'épreuve scéniquc ne fait qu'accuser en elles la vie, l'humanité, la beauté lyrique. Cette impression n'a pu être que confirmée par la représen- tation de V Otage qu'a réalisée avec beaucoup de bonheur le Théâtre de l'Œuvre. ” [↩︎] Source : Wikisource ▶︎
Joseph Huby, La conversion (1919) ⮑ “ Un théologien catholique, qui n'est pas captif de la même erreur, poussera l'analyse plus avant et se demandera s'il n'y avait pas déjà auparavant foi véritable, adhésion intérieure à l'Église catholique. Il est des cas où la réponse est claire. La lutte engagée dans l'âme d'un Théodore Ratisbonneou d'un Paul Claudel, après sa subite illumination, se livrait autour d'une foi déjà existante. C'était la grande tentation qui visait à renverser un arbre nouvellement planté et dont les racines n'avaient pas encore tracé à travers tout le système intellectuel et moral des nouveaux convertis. ” [↩︎] Source : Gallica ▶︎
Gérard Willemetz, Francis Jammes… (1958) ⮑ “ « Il est beau, cher ami, de voir votre génie avec l'âge, dégagé de tous les éléments opaques, gagner encore en lumière, en beauté, en force bienfaisante. » 61. C'EST PARCE QUE LE GÉNIE..., fragment d'un manuscrit autographe. — Bibl. litt. J. Doucet. Étude sur Paul Claudel. 62. LETTRE DE PAUL CLAUDEL à Arthur Fontaine, Prague, 25 février 1910. 2 p. — A M. Philippe Fontaine. « J'ai reçu des nouvelles de Jammes qui a l'air assez sérieusement vexé contre Gide... Le nom de Jammes manquait beaucoup au beau numéro que la N. R. F. consacrait à ce pauvre Philippe. » l8 FRANCIS JAMMES 63. ” [↩︎] Source : Gallica ▶︎
France. Ministère de l'Europe et des affaires étrangères, Les Archives du Ministère des relations extérieures depuis les origines… (1985) ⮑ “ Il ne faut pas se tromper sur la nature de certains fonds de papiers d’agents qui sont des créations factices : c’est ainsi que les Papiers Paul Claudel du ministère des Affaires étrangères consistent uniquement en photocopies de ses dépêches et pour certaines ambassades seulement, notamment Prague (3) . On a jugé utile de les réunir pour faciliter les recherches. On y a ajouté certaines photocopies remises par Renée Nantet, fille du poète, reproduisant des originaux conservés dans les Archives de la Société Paul Claudel (4) . ” [↩︎] Source : Gallica ▶︎
Léon Blum, Au théâtre… (1906-1911) ⮑ “ L'Armée dans la Ville est écrite en vers non rimés, quelquefois assonancés, et qui com- prennent à peu près tous les rythmes pairs ou impairs, avec une prédominance marquée d'alexandrins ou d'hexamètres. Les images, par leur choix et leur emploi, sont d'une extrême modernité, mais le rythme frappe souvent par une sorte de facilité classique, de sorte qu'on pense parfois à M. Paul Claudel ou à Charles-Louis Philippe, et parfois... à La Fontaine. Ce qu'il y a de meilleur, et de beaucoup, ce qui est même excellent en soi, est l'allure de certaines descriptions. ” [↩︎] Source : Gallica ▶︎
Victor Llona , La Nouvelle Revue Française ⮑ “ A la place d'une idée de pure rhétorique, voici le trophée lui-même. Paul Claudel. �� � NOTES 147 ��REVUES Sur la question du latin et les disputes qui se font autour de la Sorbonne, Yves Scantrel (Suarès) écrit dans la Grande Revue : "...Le latin porte la raison de France : ilfait raisonner juste, parce qu'il fait vivre les termes du raisonnement. Qu'il fasse parler purement, c'est le plus évident de ses crimes : car pourquoi parler purement ? pourquoi écrire avec génie ou avec grâce ? ” [↩︎] Source : Wikisource ▶︎
Jacques Rivière, Études… “ Ceux qui voudront lui échapper sauront le prix qu'il en coûte. Sa façon de rendre compte du monde est si serrée, son explication s'offre à nous avec une telle force (car quelle doctrine philosophique s'imposerait comme elle à tout notre être et saurait comme elle le pénétrer?) , elle est si despotiquement convaincante, que la repousser c'est embrasser le néant. Refuser le christianisme de Claudel, c'est se condamner à n'avoir plus de recours qu'en le néant. ” [↩︎] Source : Gutenberg ▶︎
Joseph Desaymard, Correspondance croisée Henri Pourrat - Joseph Desaymard d'octobre 1913 à 1918… (2013) ⮑ “ Au sens premier, devin, prophète à rapprocher du verbe « vaticiner ». Le sens du « voyant », du poète, se trouve chez Paul Claudel. Georges Palante (1862-1925) , philosophe et sociologue. Il défendit un individualisme. - Dans la « Chronique des arts et des lettres - Quelques livres », Joseph Desaymard évoque le quatrième recueil, Des joies et la joie de R.A. Fleury, ainsi que la position philosophique de Georges Palante dans son ouvrage Les Antinomies entre l'individu et la société, et Les Copains de Jules Romains (Le Moniteur du Puy-de-Dôme, 27 avril 1913) . 3 La mairie d'Ambert. ” [↩︎] Source : Gallica ▶︎
Camille Melloy, Le Beau Réveil ⮑ “ Elle est une œuvre de Dieu et donc éminemment digne de notre amour, à cause de son origine, de son essence et de sa destinée. Le pouce du divin Sculpteur n’est-il pas empreint sur chacune des créatures ? Peut-on les envisager sans y voir l’œuvre des Six Jours ? Sans doute l’homme a enlaidi le monde, par ses destructions et — peut-être encore davantage — par ses constructions. Mais ces grossières ratures sur la page divine n’ont point effacé la signature [12] ! « Ouvrez les yeux ! s’écrie Paul Claudel, le monde est encore intact ! Il est vierge comme au premier jour, frais comme le lait ! » ” [↩︎] Source : Wikisource ▶︎
“ « Qui se douterait, à lire Rabelais, Montaigne, Racine, Molière, Victor Hugo, qu’un Dieu est mort pour nous sur la Croix ? C’est cela qui doit absolument cesser » (Paul Claudel. Lettre à M. Rob. Vallery-Radot ; citée dans l’Anthologie de la Poésie catholique, préface) . ↑ R. Valléry-Radot : André Lafon : dans Les « Cahiers de l’Amitié de France ». ↑ J. de Tonquédec : P. Claudel. ↑ Voir plus loin une étude sur ce grand lyrique catholique, dont l’œuvre devrait être traduite dans toutes les langues, et que Dom Bruno Destrée et Charles Grolleau ont révélé au public français. ” [↩︎] Source : Wikisource ▶︎
Victor Llona , La Nouvelle Revue Française ⮑ “ E<^ nous savons de reste que l'atmosphère des salons mondains, des cabinets de rédaction et des théâtres à la mode mûrit mal un esprit pour l'appréhension de la beauté. Tel jeune homme, débilité par de chétives nourritures, qui puise, chaque matin, dans un "conte" du Journal ou d'Excelsior le suc de sa culture et l'élan de son ambition, peut bien se sentir offensé par une vraie grandeur. Enfin c'est la vertu d'un Mallarmé ou d'un Paul Claudel d'interdire à cer- taines intrusions l'accès de leur domaine... ” [↩︎] Source : Wikisource ▶︎
Gérard Willemetz, Francis Jammes… (1958) ⮑ “ C'est à M. Robert Mallet que l'on doit la publication de la correspondance de Francis Jammes avec André Gide, à M. André Blanchet la correspondance avec Paul Claudel, Gabriel Frizeau et Jacques Rivière. En publiant ces deux grands recueils on a éclairé un chapitre de l'histoire littéraire des premières années du siècle. Francis Jammes y apparaît bien plus vivant qu'on ne l'avait parfois représenté : ce n'est ” [↩︎] Source : Gallica ▶︎
Joseph Desaymard, Correspondance croisée Henri Pourrat - Joseph Desaymard d'octobre 1908 à 1912… (2012) ⮑ “ Aucune nouvelle de Pineau au point de vue folklore. J'en fais toujours un peu ce soir nous sommes allés à Valeyre avec Émile Ossedat : nous avons bu un litre (qui n'était qu'une chopine) et recueilli une dizaine d'airs. Il doit y en avoir à peu près 70. J'ai déjà envoyé 30 chansons à Moullé. Merci pour les films : en octobre ce sera parfait. Pastourel m'écrit et ne me dit pas grand-chose, sinon qu'il ne fera pas de saison. Ma mère part vendredi pour Paris et pour Berck nous avons toujours de bonnes nouvelles de Paul. Je vais tâcher de lire Claudel, La Connaissance de l'Est253. ” [↩︎] Source : Gallica ▶︎
Victor Llona , La Nouvelle Revue Française ⮑ “ Vous dites encore : " Nous considérons volontiers ses livres comme des documents. " — Dans cette immense littérature (bonne et mauvaise) peu de livres sont aussi person- nels, aussi subjectifs, aussi peu documentaires que ceux de Lafcadio Hearn. Veuillez agréer, etc. M. S. �� � NOTES 157 �� ��Signalons à ce propos un nouveau livre de Lafcadio Hearn, Chita, qui vient de paraître au Mercure de France, traduit par M. Marc Logé. Indiquons également la publication en volume des Géorgiques chrétiennes, Chants / e///, de Francis Jammes, et de la Première Série du Théâtre de Paul Claudel. ” [↩︎] Source : Wikisource ▶︎