Guy de Maupassant, Œuvres complètes de Guy de Maupassant - volume 18 (1908) ⮑ “ La Seine semble un gros serpent roulé, couché immobile, dont on n’aperçoit ni la tête ni la queue; elle vient de là-bas, elle s’en va là-bas, en traversant Paris, et la terre entière a l’air d’une immense cuvette de prés et de forêts qu’enferme à l’horizon une montagne basse, lointaine et circulaire.Le soleil qu’on n’apercevait plus d’en bas reparaît pour nous, comme s’il se levait de nouveau, et notre ballon lui-même s’allume dans cette clarté; il doit paraître un astre à ceux qui nous regardent. ” [↩︎] Source : Gutenberg ▶︎
Charles Dodeman, Le Spectateur inconnu… (1922) ⮑ “ Les femmes sont souvent plus sensibles que les hommes à la clarté qui tombe du large ruban de ciel, au-dessus de la Seine, à la poésie qui émane de son cours aux robes changeantes. Aussi, pour si peu qu'elles soient amies des livres, elles ne manqueront pas de chercher un logis dans une des maisons bruissantes de souvenirs, au coin du paysage aimé, à portée de main des boîtes pleines de livres. Les citer toutes,ce serait composer un Gotha de la beauté et de la grâce. Etre femme, être gracieuse, n'empêche nullement d'emmagasiner en son cerveau la rèche science livresque. ” [↩︎] Source : Gallica ▶︎
Charles Fegdal, Félix Vallotton (1931) ⮑ “ La mémoire est son serviteur prédominant. Les toits de tuiles d'un village, le coup de vent sur une haie vive, le sous-bois d'ombres mystérieuses ou le tournant de route qui poudroie sous le soleil, la plage et ses baigneurs, l'estuaire ensablé de la Seine, le crépuscule sur la mer, le ciel orageux sur l'océan ou le calme d'un port, Vallotton raconte tout cela sans effusion, peut-être, mais il le raconte, de mémoire, si picturalement vrai, sensible et profond, dans des gammes colorées qui lui sont si particulières, qu'on est bien obligé d'y trouver l'émoi qu'il y a mis pour nous le découvrir. ” [↩︎] Source : Gallica ▶︎
Société de statistique… (1909) ⮑ “ Il semble que le sceptre de la mode ne puisse être arraché à Paris : les étrangers le pensent comme les Français et lui rendent hommage en venant s'alimenter à la source qui, des bords de la Seine, se répand sur le monde en flots de soie, de gaze, de dentelles, de drap, de velours, apprêtés par des milliers d'artistes incomparables, dont l'infatigable et ininterrompue collaboration crée et entretient cette chose indéfinissable et que pourtant chacun comprend : la mode de Paris. ” [↩︎] Source : Gallica ▶︎
Fêtes du 25e anniversaire de la fondation des écoles normales de la Seine… (1898) “ La Jeunesse: Fêter les écoles normales, c'est fêter l'enseignement populaire, c'est fêter la plus grande source d'amélioration matérielle et de perfectionnement moral qui soit ouverte au cœur d'un pays. Voilà pourquoi la célébration toute récente (23 et 29 octobre) du vingtcinquième anniversaire de la fondation des deux Écoles normales de la Seine a pris l'ampleur et le caractère d'une de ces manifestations générales, par où s'exprime la pensée de la nation sur les facteurs principaux de son existence et de son progrés. ” [↩︎] Source : Gallica ▶︎
Jacques-Pierre-Guillaume Pattu, Lettre de M. Pattu à M. Pouettre… (1827) ⮑ “ Les lois de la nature , dit-il, ont cela de remarquable y » qu'elles sont indépendantes des grandeurs absolues des choses et des » lieux sur lesquels elles agissent, pourvu que les rapports, et les situa« tions respectives soient les mêmes : ainsi il suffit qu'une baie, qu'une » crique quelconque se trouve , par rapport aux courans qui les par» courent, dans la même situation que la baie de la Seine , pour que les » phénomènes qui s'y passeront ne diffèrent de ceux qui ont lieu dans » celle-ci que du petit au grand ; et vice versa, lorsqu'on fera subir à ” [↩︎] Source : Gallica ▶︎
Félix Santallier, Sur la jetée… (1859) ⮑ “ Les Villervillaises sont aussi braves que leurs hommes. Elles n'ont jamais le mal de mer que lorsqu'elles lancent Un poupon. Ce n'est pas seulement à la mamelle qu'elles nourrissent leurs enfants. Pour apporter leur contingent de vivres à la cabane, elles s'en vont ar- racher les moules sur les bancs de la Seine. Ces néréides au sein bruni, aux pieds nus et durs comme les galels de la grève, aux mains calleuses et épaissies par le frottement de l'aviron, s'appellent alors des moulières. ” [↩︎] Source : Gallica ▶︎
Clémence Robert, Les Voleurs du Pont-Neuf… (1883) ⮑ “ Regardez autour de nous : là-bas, à l'autre bord de la Seine, le feuillage est frais. et brillant, l'air a toute la pureté de son azur, l'eau coule aussi limpide qu'au jour de la création. Et, à l'endroit où nous sommes, sur le terrain populeux du Grand-Cours, les arbres sont dépouillés, flétris, la terre est jaune, battue, couverte d'une ignoble poussière, qui semble garder la trace de tous les vices, de toutes les turpitudes qui la foulent dans la journée. C'est l'image de tout le reste. Dans la nature tout est bien, tout est beau pour les yeux et pour l'âme ” [↩︎] Source : Gallica ▶︎
Adrien Mithouard, Terre d'Occident… (1917) ⮑ “ « Il faut battre le fer quand il est chaud. A laver la tête d'un âne, on ne perd que la lessive. Il vaut mieux laisser un enfant morveux que lui arracher le nez. Les communautés commencent par bâtir la cuisine. » Excellente façon d'exprimer des sentences gnomiques, dont le moindre défaut est qu'on ne sait jamais bien à quelle heure elles s'appliquent. Savourez donc comme ce peuple qui n'aime point « les rentes assignées sur les brouillards de la Seine » ne retient d'une formule que son application. ” [↩︎] Source : Gallica ▶︎
Etablissement public de la Bibliothèque de France, Premiers volumes… (1989) ⮑ “ Une piste d'athlétisme sur le toit est plus qu'un équipement agréable : elle caractérise le rôle complexe de la Bibliothèque comme générateur d'un nou- veau personnage urbain (le chercheur-athlète) et d'une nouvelle stratégie de la ville (le circuit ouvert) . L'un des circuits de la Bibliothèque de France s'ouvre sur la Seine et forme la plaque tournante d'un nouveau quartier. D'autres circuits circuits ont pour résultante la nouvelle tour de la Bibliothèque, un signal imposant et visible du coeur de Paris. ” [↩︎] Source : Gallica ▶︎
Eugène Briffault, Paris dans l'eau (1844) ⮑ “ Le Parisien, non pas cet être métis qui vient de tous les coins de la France peupler la grande ville, le Parisien pur sang a pour son fleuve toutes les prédilections et tous les goûts qu'on voit se manifester chez les habitants de notre triple littoral. Le premier plaisir que goûte l'enfant de la Seine, c'est celui de s'essayer à nager. Paris compte des nageurs supérieurs en force aux plus habiles nageurs des ports les plus fameux ; ce sont tous des enfants du peuple ; tous se sont formés euxmêmes et sans autres maîtres que leur intrépidité et la nature. ” [↩︎] Source : Gallica ▶︎
Henri Blerzy, Études sur les Travaux publics… ⮑ “ La ville de Paris n’est plus comme autrefois un être isolé dont les intérêts s’éteignent sur l’étroite périphérie de son territoire municipal ; elle achète en Champagne des sources pour désaltérer et laver ses habitans, des terrains près de Pontoise pour y établir ses nécropoles ; elle infecte la Seine inférieure avec les résidus de sa voirie, elle étend au loin ses réseaux intérieurs d’aqueducs et d’égouts, bras immenses, qui aspirent une eau pure et refoulent un liquide pollué par les usages de la vie. ” [↩︎] Source : Wikisource ▶︎
Théophile Gautier, Tableaux de Siége ⮑ “ Paris, quoi qu’on dise ou qu’on fasse, n’est pas le chef-lieu du département de la Seine, peuplé seulement de naturels de l’endroit. Vouloir le réduire à ce rôle est l’idée la plus biscornue qui puisse passer par la fantaisie d’un peuple encore ahuri par les événements terribles qu’il vient de traverser. Paris est la synthèse de la France ; il la résume et rayonne sur elle. Il en est l’œil, le cœur et le cerveau, la lumière, la chaleur, la pensée. Qui donc veut décapiter le pays et faire vivre le corps sans la tête, sous prétexte sans doute que c’est une mauvaise tête ? ” [↩︎] Source : Wikisource ▶︎
A. Mairet, Géographie… (1912) ⮑ “ Le régime dépend de nombreuses causes : 1° Alimentation. — Certains fleuves doivent leurs crues à la fonte des neiges au printemps (fleuves de Russie) . — Dans les hautes montagnes, l'action des neiges se combine avec celle des glaciers, qui fondent en été (Rhône) . — D'autres peuvent avoir plusieurs périodes de crues, dues à la fonte des neiges, puis aux pluies (Durance) . —Dans les régions tempérées froides, les pluies tombent en toutes saisons et les rivières ont un régime assez régulier (Seine) . — Les fleuves de climat méditerranéen, n'ont d'eau qu'en automne et en hiver. ” [↩︎] Source : Gallica ▶︎
François-René Salmon, Les pélerinages des environs de Paris (1874) ⮑ “ A mesure qu'on s'élève, un horizon immense se déploie, on découvre l'immense vallée à travers laquelle serpente la Seine comme un ruban argenté, et du même coup toute cette masse de constructions qui forment, en s'étendant à perte de vue, la grande Babylone moderne. Ici, sur la hauteur, c'est le silence et le calme des champs ; là, tout au fond, c'est le bruit incessant de la rue, le va et vient, le pêle-mêle de la vie active, le choc des intérêts et des passions, et trop souvent les folles clameurs de la révolution. ” [↩︎] Source : Gallica ▶︎
Antoine Jay, Les hermites en liberté… (1824) ⮑ “ On a observé que les maisons de jeu et de loterie, si multipliées sur les deux rives de la Seine, sont les deux causes les plus actives des déprédations et des crimes que la justice est appelée à discuter et à punir : tout le monde convient de cette vérité, et cependant ces maisons s'ouvrent chaque jour sous la protection du gouvernement, qui se rend ainsi complice de la corruption des mœurs ; l'intérêt du fisc l'emporte sur l'intérêt de l'humanité. ” [↩︎] Source : Gallica ▶︎
A. Rabusson, De l'Agrandissement de l'enceinte des fortifications de Paris du côté de l'est… (1842) ⮑ “ C'est sur l'Est que tout converge, c'est sur Seine et Marne qu'on se rassemble. Qu'y a-t-il à faire pour la défense ? Faut-il prendre l'offensive, faut-il prendre la défensive? Où faut-il se porter pour prendre l'offensive, où faut-il se porter pour prendre la défensive? - La défense se décide à prendre l'offensive. Elle a raison si elle a le temps et les forces nécessaires, sans quoi il semble que ce serait une méprise. ” [↩︎] Source : Gallica ▶︎
Jean Fleury, Revue des Deux Mondes ⮑ “ L’hygiène a fait pénétrer ses notions les plus essentielles dans toutes les classes de la société. On sait aujourd’hui qu’il y a des eaux funestes et qu’il y en a de salutaires. Aussi, chaque fois que l’administration municipale, prise au dépourvu par un surcroît de consommation, substitue l’eau de Seine à l’eau de source en quelque quartier de la capitale, le public, très au courant des risques auxquels on l’expose, fait-il entendre des plaintes, que surexcitent, en les justifiant, les recommandations alarmantes, et souvent d’une application difficile, des hygiénistes. ” [↩︎] Source : Wikisource ▶︎
J.-J. Baude, Revue des Deux Mondes ⮑ “ Le progrès agricole est très loin d’être au même niveau dans toutes les parties du bassin de la Seine maritime ; mais les bons exemples y sont assez multipliés pour entraîner ce qui reste en arrière. À considérer le pays dans son ensemble, le produit brut de la terre, qui n’était sous l’ancien régime que le double du produit net, en est successivement devenu là le triple, ici le quadruple, et, secondée par quelques circonstances favorables, l’ingénieuse économie des cultivateurs a constitué des capitaux dont la convergence vers une destination uniforme accroît singulièrement la puissance. ” [↩︎] Source : Wikisource ▶︎
Joris-Karl Huysmans, Le Drageoir aux épices (1874) ⮑ “ Il faut y aller, un dimanche, pour assister au sincère spectacle de cette banlieue en fête, puis les jours de soleil moyen, de splendides firmaments se reflètent dans cette Seine, dont les eaux renversent la course pommelée des nuages ! En se plaçant sur le parapet du pont, au-dessous de la voie de Ceinture, dont les trains roulent, au-dessus de votre tête, avec un grondement rapproché de foudre, l’on embrasse d’un coup d’œil l’horizon hors Paris, un horizon vite limité, du reste, par des masses de bois qui s’escaladent et tailladent le ciel de leurs inégales cimes. ” [↩︎] Source : Wikisource ▶︎
Guy de Maupassant, Monsieur Parent ⮑ “ Le soleil baignait de sa lumière abondante et chaude tout le grand paysage un peu voilé par les vapeurs matinales, par la sueur de la terre chauffée s'exhalant en brouillards menus, et par les souffles humides de la Seine, qui se déroulait comme un serpent sans fin a travers les plaines, contournait les villages et longeait les collines.Une brise molle, pleine de l'odeur des verdures et des sèves, caressait la peau, pénétrait au fond de la poitrine, semblait rajeunir le coeur, alléger l'esprit, vivifier le sang. ” [↩︎] Source : Gutenberg ▶︎
Armand Putois, Usages locaux du Mâconnais… (1881) ⮑ “ « Je n'aime pas l'aumône qui humilie et qui rend les hommes mauvais, m'écrivait dernièrement un vieux docteur du département de Seine-et-Marne, je recommande le travail qui suffit à tout et à tous, oui, le travail qui est la condition fondamentale de la vie, qui est une source de santé, de bien-être et de moralité. » Oui, docteur, le travail suffit à tout et à tous : celui qui peut, qui sait travailler ne devrait jamais tendre la main pour solliciter de l'aumône le pain nécessaire à son existence. ” [↩︎] Source : Gallica ▶︎
Juncetis, Le Diable à Paris… (1857) ⮑ “ On ne sait pas plus ce que coûte une guerre que ce qu'elle rapporte. Si nos magnifiques-souverains, les électeurs, au lieu de se représenter eux-mêmes en meublant de médiocrités la plupart de nos conseils en tout genre, avaient, plus tôt qu'ils ne l'on fait, envoyé quelques hommes d'art ou de pensée au conseil général de la Seine, depuis quarante ans, il ne se serait point bâti de maison dans Paris qui n'eût eu pour ornement, au premier étage, un balcon d'une saillie d'environ deux mètres. ” [↩︎] Source : Gallica ▶︎
Seine, Etat général du personnel intérieur de la préfecture et de la commission des contributions directes (1914) “ LOI DE LA NOMINATION actuelle OBSERVATIONS ET DURÉE DES SERVICES -~ o ,< dans dans ".,. 0 :t ans dans d LA NAISSANCE § Services SerI dans dans hors de la Préfecture de la Seine Z non va 1 a bl c S < LA CLASSE L'ADMINISTRATION « non valables ~—————_———————————————————————————————————————————————-——————————— '1,1 de b 49 PIQUEREY (Just-.Maric-Joser ph) 15 sepF tembre 1863 1er août 1892 l") 1" ll'! ^rJe bUreau-Exceptionnelle. — Travaux, » Services militaires (du 12 décembre 1884 au 8 septembrel888) 1" 1 juillet 1913 3e Bureau. Préfecture de police (du !•' novembre i888 au 30 juillet ieiw) . ” [↩︎] Source : Gallica ▶︎
Roger Ballu, Une vie d'artiste… (1885) ⮑ “ Que veut-on? quand on a une nature aimante, sensible, et qu'autour de soi, on ne sent que le vide, il est des moments où l'on n'a pas besoin de l'amitié d'un grand homme, celle d'une simple concierge semble un bienfait des dieux. Il manifesta l'intention de sortir : elle lui recommanda bien, de peur qu'il ne se perdît, de ne pas aller trop loin. Le jour baissait, le marché était morne; les réverbères, que l'on allumait l'un après l'autre, piquaient de lueurs rouges l'uniformité des teintes grises, qui, peu à peu, enveloppaient tout. Jacques alla droit devant lui jusqu'aux bords de la Seine. ” [↩︎] Source : Gallica ▶︎
Charles Delon, Notre capitale Paris (1885) ⮑ “ Paris souffrit beaucoup. Rien n'arrivait plus. Quand on eut mangé le son et l'avoine, quand on eut mangé les chevaux et les ânes, on mangea les rats et les souris, les peaux, les chandelles, les os broyés... Devant les portes dos couvents, dont les caves étaient bondées de vivres, on mit des chaudières où. l'on faisait bouillir dans l'eau les chats et les chiens, et avec ce bouillon de chiens on trempait au peuple des soupes d'herbes. Les pauvres gens tombaient de faim dans les rues, par milliers ; chaque matin on en jettait deux ou trois cents à la Seine, qui étaient morts pendant la nuit. ” [↩︎] Source : Gallica ▶︎
Seine, Etat général du personnel intérieur de la préfecture et de la commission des contributions directes (1914) “ « NOMS ET PRENOMS d'' E ''o'!crétaire .*}$I , , e .rv - counn sECni:-r.une Cr. s ilc l'ancienncté G Sei.ne 2 ;-§ Services valables dans la dusse la Préfecturc rlc la Seine 1,5 1 LAMBE ~j~,~~ — =~ A.~m..A- 4' R Ë A ~-*&. t~ 1880" 189" p 1 m, ,, Tt* - - ■- tW-jaav. '1880**' » » 1895 Exceptionnelle. — Conseil municipal Préfecture de la Seine (du 9 décembre 1876 au 31 décembre » l~août 190 4. 1879. - Services non valables) . ” [↩︎] Source : Gallica ▶︎
“ Aliénés, cembre 1900. — Services non valables) . : al!\, 2e Bureau. J | 150 PRIEUX (Edmond-Emile) . 31 janvier 1879 1" j~ier * 1" juillet 1913 Caisse municipale Préfecture de la Seine (du 26 octobre 1898 au 21 dé- Services militaires (du 14 novembre 1900 au 24 septembre 1901) cembre 1899. — Services non valables) . — Inter■ ruplion de services (du 16 novembre 1900 au 17 no*8 19Q vembre 1901) . ” [↩︎] Source : Gallica ▶︎
Seine, Recueil des règlements sur les eaux de Paris (1875) “ Considérant que les eaux affectées au service de la Ville de Paris appartiennent au domaine public et que les concessions qui en ont pu être faites sont essentiellement révocables ; que d'ailleurs, dans l'espèce, la concession résultant des actes dont excipe le sieur Delalain a été constituée à titre précaire et purement gratuit ; Décide : ART. 1er. L'arrêté ci-dessus visé du conseil de préfecture du département de la Seine, en date du 16 septembre 1843, est annulé pour cause d'incompétence. ART. 2. ” [↩︎] Source : Gallica ▶︎
“ Vu le mémoire en défense produit au nom de. la Ville de Paris, représentée par le Préfet du département de la Seine, à ce dûment autorisé, ledit mémoire enregistré comme dessus, le 7 mars 1859, et tendant à ce qu'il nous plaise rejeter le recours des héritiers Le Rebours, par le motif que les eaux de la Ville de Paris dépendraient du domaine public ” [↩︎] Source : Gallica ▶︎