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Montesquieu

Montesquieu,  De l’esprit des lois (1843)

“ Chacun se sert de leurs agréments et de leurs passions pour avancer sa fortune; et comme leur faiblesse ne leur permet pas l'orgueil, mais la vanité, le luxe y règne toujours avec elles.
Dans les états despotiques, les femmes n'introduisent point le luxe, mais elles sont elles-mêmes un objet de luxe. Elles doivent être extrêmement esclaves. Chacun suit l'esprit du gouvernement, et porte chez soi ce qu'il voit établi'ailleurs. Comme les lois y sont sévères et
exécutées sur-le-champ, on a peur que la liberté des femmes n'y fasse des affaires.
”
[↩︎]
Source : Gallica
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“ La puissance paternelle se perdit à Rome avec la république. Dans les monarchies, où l'on n'a que faire de mœurs si pures, on veut que chacun vive sous la puissance des magistrats.
Les lois de Rome, qui avaient accoutumé les jeunes gens à la dépendance, établirent une longue minorité. Peut-être avons-nous eu tort de prendre cet usage: dans une monarchie on n'a pas besoin de tant de contrainte.
jTTr subordiJation dans la république y pourrait demander que le père restât pendant sa vie; le maître des biens de ses enfants,
comme il fut réglé à Rome.
”
[↩︎]
Source : Gallica
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“ À mesure que dans chaque nation une de ces causes agit avec plus de force, les autres lui cedent d’autant. La nature & le climat dominent presque seul sur les sauvages ; les manieres gouvernent les Chinois ; les lois tyrannisent le Japon ; les mœurs donnoient autrefois le ton dans Lacédémone ; les maximes du gouvernement & les mœurs anciennes le donnoient dans Rome.
CHAPITRE V.
Combien il faut être attentif à ne point changer l’esprit général d’une nation.
”
[↩︎]
Source : Wikisource
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Montesquieu,  Esprit des lois… (1892)

“ Que le pouvoir judiciaire doive être nécessairement indépendant, c'est ce qui saute d'abord aux veux de tout le monde. On ne peut rien dire de plus fort que ces paroles : « Si la puissance de juger était jointe à la législative, le pouvoir sur la vie et la liberté des citoyens serait arbitraire, car le juge serait législateur ; si elle était jointe à la puissance exécutrice, le juge pourrait avoir la force d'un oppresseur. » Ainsi, c'est déjà un
premier principe du gouvernement modéré de laisser le pouvoir judiciaire absolument indépendant du pouvoir souverain.
”
[↩︎]
Source : Gallica
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Montesquieu,  De l’esprit des lois (1843)

“ Une nation commerçante a un nombre prodigieux de petits intérêts particuliers ; elle peut donc choquer et être choquée d'une infinité de manières. Celle-ci deviendrait souverainement jalouse ; et elle s'aflligerait plus de la prospérité des autres qu'elle ne jouirait de la sienne .
Et ses lois, d'ailleurs douces et faciles, pourraient être si rigides à l'égard du commerce et de la navigation qu'on ferait chez elle, qu'elle semblerait ne négocier qu'avec des ennemis,
Si cette nation envoyait au loin des colonies, elle le ferait plus pour1 étendre son commerce que sa domination.
”
[↩︎]
Source : Gallica
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Montesquieu,  Esprit des lois… (1892)

“ Dans la démocratie, le peuple fait ses affaires lui-même ; dans l'aristocratie ce sont les grands qui les font pour lui ; le peuple y est à l'égard des nobles ce que les sujets sont dans la monarchie à l'égard du prince. Cependant, la sagesse d'une république aristocratique est de diminuer, autant que
1. Esprit dru lois, 1. III, c. III. 2 L. II, c. III.
possible, la distance qui sépare le peuple des grands, de donner au peuple un moyen de sortir de son abaissement et dé jouer un rôle dans l'État.
”
[↩︎]
Source : Gallica
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Montesquieu,  De l’esprit des lois (1843)

“ On sait que, chez les Volsiniens, les affranchis, devenus maîtres des suffrages, firent une abominable loi qui leur donnait le droit de coucher les premiers avec les lilles qui se mariaient à des ingénus.
Il y a diverses manières d'introduire insensiblement de nouveaux citoyens dans la république. Les lois peuvent favoriser le pécule, et mettre les esclaves en état d'acheter leur liberté. Elles peuvent donner un terme à la servitude, comme celles de Moïse, qui avaient
borné à six ans celle des esclaves hébreux.
”
[↩︎]
Source : Gallica
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“ La partie qui succomboit étoit assez punie par des condamnations d’amende envers le seigneur & ses pairs. La maniere de procéder par le combat judiciaire faisoit que, dans les crimes, la partie qui succomboit, & qui perdoit la vie & les biens, étoit punie autant qu’elle pouvoit l’être : & dans les autres cas du combat judiciaire, il y avoit des amendes quelques fixes, quelquefois dépendantes de la volonté du seigneur, qui faisoient assez craindre les événemens des procès. ”
[↩︎]
Source : Wikisource
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“ Lorsqu’un homme mouroit sans enfans, la loi vouloit qu’un des deux sexes n’eût de préférence sur l’autre que dans de certains cas. Dans les deux premiers degrés de succession, les avantages des mâles & des femelles étoient les mêmes ; dans le troisieme & le quatrieme, les femmes avoient la préférence ; & les mâles l’avoient dans le cinquieme. ”
[↩︎]
Source : Wikisource
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“ Le combat judiciaire devenant moins en usage, on fit les enquêtes par écrit. Mais une preuve vocale mise par écrit n’est jamais qu’une preuve vocale ; cela ne faisoit qu’augmenter les frais de la procédure. On fit des réglemens qui rendirent la plupart de ces enquêtes [1] inutiles ; on établit des registres publics, dans lesquels la plupart des faits se trouvoient prouvés, la noblesse, l’âge, la légitimité, le mariage. L’écriture est un témoin qui est difficilement corrompu. On fit rédiger par écrit les coutumes. ”
[↩︎]
Source : Wikisource
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“ De la manière de gouverner dans la monarchie.
L'autorité royale est un grand ressort qui doit se mouvoir aisément et sans bruit. Les Chinois vantent un de leurs empereurs, qui gouverna, disent-ils, comme le ciel, c'est-à-dire par son exemple.
Il y a des cas où la puissance doit agir dans toute son étendue ; il y en a où elle doit agir par ses limites. Le sublime de l'administration
est de bien connaître quelle est la partie du pouvoir, grande ou pe- tite, que l'on doit employer dans les diverses circonstances.
”
[↩︎]
Source : Gallica
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“ Si, par exemple, l'affaiblissement en France était de moitié, et que l'ancien écu de trois livres donnât soixante gros en Hollande, le nouvel écus ne devrait donner que trente gros. D'un autre côté, il semble que le change devrait régler sur la valeur de l'espèce vieille, parce que le banquier qui a de l'argent, et qui prend
des lettres, est obligé d'aller porter à la monnaie des espèces vieilles pour en avoir de nouvelles, sur lesquelles il perd.
”
[↩︎]
Source : Gallica
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Montesquieu,  Esprit des lois… (1892)

“ Elle peut enlever ainsi aux citoyens leur liberté et même leur vie, et cela en vertu de la constitution, à moins que le respect des lois fondamentales, les moeurs, la prudence du chef ne s'y opposent, et alors le citoyen peut être libre en fait, mais la constitution n'assure pas sa liberté. Cela n'est pas moins évident, si l'on accorde à la puissance législative la force de l'exécution, cette puissance
1. L. XI, c. VI.
fût-elle élue par le peuple, fût-elle le peuple lui-même.
”
[↩︎]
Source : Gallica
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Montesquieu,  De l’esprit des lois (1843)

“ De combien de choses prodigieuses ce crime ne dépendait-il pas? Qu 'il ne soit pas rare qu'il y ait des révélations; que l'évêque en ait eu une ; qu'elle fût véritable ; qu'il y eût eu un miracle ; que ce miracle eût cessé ; qu'il y eût de la magie ; que la magie pût renverser la religion ;, que ce particulier fût magicien ; qu'il eût fait enfin cet acte de magie.
L'empereur Théodore Lascaris attribuait sa maladie à la magie. Ceux qui en étaient accusés n'avaient d'autre ressource que de manier
un fer chaud sans se brûler.
”
[↩︎]
Source : Gallica
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“ Il faut surtout que ce sénat s'attache aux institutions anciennes, et fasse en sorte que le peuple et les magistrats ne s'en départent jamais.
Il y a beaucoup à gagner, en fait de mœurs, à garder les coutumes anciennes. Comme les peuples corrompus font rarement de grandes choses ; qu ils n'ont guère établi de sociétés, fondé de villes, donné des lois ; et qu'au contraire ceux qui avaient des mœurs simples et austères ont fait la plupart des établissements; rappeler les hommes aux maximes anciennes, c'est ordinairement les ramener à la vertu.
”
[↩︎]
Source : Gallica
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“ Le critique ne veut jamais que l'auteur traite son sujet; il veut continuellement qu'il traite le sien : et, parce qu'il est toujours théologien, il ne veut pas que, même dans un livre de droit, il soit jurisconsulte. Cependant on verra tout à l'heure qu'il est, sur le célibat, de l'opinion des théologiens, c'est-à-dire qu'il en a reconnu la bonté. Il faut savoir que, dans le livre vingt-troisième, où il est traité du rapport que les lois ont avec le nombre des habitants, l'auteur a donné une théorie de ce que les lois politiques et civiles de divers peuples avaient fait à cet égard. ”
[↩︎]
Source : Gallica
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“ Par la régie, l'argent levé passe par peu de mains ; il va directement au prince, et par conséquent revient plus promptement au peuple. Par la régie, le prince épargne au peuple une infinité de mauvaises lois qu'exige toujours de lui l'avarice importune des fermiers, qui montrent un avantage présent dans des règlements funestes pour avenir.
Comme celui qui a l'argent est toujours le maître de l'autre, le traitant se rend despotique sur le prince même : il n'est pas législateur, mais il le force à donner des lois.
”
[↩︎]
Source : Gallica
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Montesquieu,  Esprit des lois… (1892)

“ C'est l'aristocratie, c'est une aristocratie qui consent à être gouvernée par un roi, et à faire la part aux besoins du peuple. Grande aristocratie, sans aucun doute; mais enfin, voici la question : faut-il absolument une noblesse dans un pays libre? La liberté politique ne peut-elle s'acheter que par l'inégalité sociale ? Il est difficile de le croire. Si la raison fait désirer à l'homme la liberté politique, la môme raison lui fait désirer aussi l'égalité civile. Il serait trop étrange que le
privilège fût un principe de liberté, et l'égalité de droits un principe de servitude.
”
[↩︎]
Source : Gallica
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Montesquieu,  De l’esprit des lois (1748)

“ L’esclavage est d’ailleurs aussi opposé au droit civil qu’au droit naturel. Quelle loi civile pourroit empêcher un esclave de fuir, lui qui n’est point dans la société, & que par conséquent aucunes lois civiles ne concernent ? Il ne peut être retenu que par une loi de famille ; c’est-à-dire, par la loi du maître.
↑ Institut. de Justinien, liv. I. ↑ Si l’on ne veut citer celles qui mangent leurs prisonniers. ↑ Je parle de l’esclavage pris à la rigueur, tel qu’il étoit chez les Romains, & qu’il est établi dans nos colonies.
CHAPITRE III.
Autre origine du droit de l’esclavage.
”
[↩︎]
Source : Wikisource
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“ Les princes des états despotiques ont toujours abusé du mariage. Ils prennent ordinairement plusieurs femmes, surtout dans la partie du monde où le despotisme est pour ainsi dire naturalisé , qui est l'Asie. Ils en ont tant d'enfants, qu'ils ne peuvent guère avoir d'affection pour eux, ni ceux-ci pour leurs frères. ”
[↩︎]
Source : Gallica
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“ Une grande quantité d'argent fut tout à coup portée en Europe ; bientôt moins de personnes eurent besoin d'argent ; le prix de toutes les choses augmenta, et celui de l'argent diminua : la proportion fut donc rompue, toutes les anciennes dettes furent éteintes. On peut se rappeler le temps du système, où toutes les choses avaient une grande valeur, excepté l'argent. Après la conquête des Indes, ceux qui avaient de l'argent furent obligés de diminuer le prix ou le louage de leurs marchandises, c'est-à-dire l'intérêt. ”
[↩︎]
Source : Gallica
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Montesquieu,  Oeuvres de Montesquieu avec des éloges… (1826)

“ Il est attache à la nature qu'à mesure que nous sommes heureux nous voulons l'être davantage. Dans la félicité même il y a des impatiences. C'est que, comme notre esprit est une suite d'idées , notre coeur est une suite de désirs. Quand nous sentons que notre bonheur ne peut plus s'augmenter, nous voulons lui donner une modification nouvelle. Quelquefois mon ambition étoit irritée par mon amour même : j'êspérois que je serois plus digne d'Ardasire, et, malgré ses prières, malgré ses larmes, je la quittai.
Je ne vous dirai point l'affreuse violence que je
”
[↩︎]
Source : Gallica
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Montesquieu,  De l’esprit des lois (1843)

“ Celui qui a tant d'inquiétudes, de soupçons et de craintes, est un acteur qui est embarrassé à jouer son rôle. Quand il voit qu'en général les lois sont dans leur force et qu'elles sont respectées, il peut se juger en sûreté. L'allure générale lui répond de celle de tous les particuliers. ”
[↩︎]
Source : Gallica
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Montesquieu,  Esprit des lois… (1892)

“ Le partage des hommes, comme des bêtes, y est l'instinct, l'obéissance, le châtiment.
a. RICAULT, de l'Empire Ottoman.
b. Voyez l'histoire de cette révolution, par le P. Ducerecau.
c. Son gouvernement était militaire ; ce qui est une des espèces du gouvernement despotique.
Il ne sert de rien d'opposer les sentiments naturels, le respect pour un père, la tendresse pour ses enfants et ses femmes, les lois de l'honneur, l'état de sa santé : on a reçu l'ordre et cela suffit.
En Perse, lorsque le roi a condamné quelqu'un, on ne peut plus lui en parler ni demander grâce.
”
[↩︎]
Source : Gallica
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Montesquieu,  De l’esprit des lois

“ Ainsi, dans le monde Romain, comme à Lacédémone, ceux qui étoient libres étoient extrêmement libres, & ceux qui étoient esclaves étoient extrêmement esclaves.
Pendant que les citoyens payoient des tributs, ils étoient levés avec une équité très-grande On suivoit l’établissement de Servius Tullius, qui avoit distribué tous les citoyens en six classes, selon l’ordre de leurs richesses, & fixé la part de l’impôt à proportion de celle que chacun avoit dans le gouvernement. Il arrivoit de-là qu’on souffroit la grandeur du tribut, à cause de la grandeur du crédit
”
[↩︎]
Source : Wikisource
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“ Quand une république est corrompue, on ne peut remédier à aucun des maux qui naissent, qu’en ôtant la corruption, & en rappellant les principes : toute autre correction est ou inutile, ou un nouveau mal. Pendant que Rome conserva ses principes, les jugemens purent être sans abus entre les mains des sénateurs : mais, quand elle fut corrompue, à quelque corps que ce fût qu’on transportât les jugemens, aux sénateurs, aux chevaliers, aux trésoriers de l’épargne, à deux de ces corps, à tous les trois ensemble, à quelque autre corps que ce fût, on étoit toujours mal. ”
[↩︎]
Source : Wikisource
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Montesquieu,  Esprit des lois… (1892)

“ On se communique moins dans les pays où chacun, et comme supérieur, et comme inférieur, exerce et souffre un pouvoir arbitraire, que dans ceux où la liberté règne dans toutes les conditions. On y change donc moins de manières et de moeurs ; les manières plus fixes approchent plus des lois : ainsi il faut qu'un prince ou un législateur y choque moins les moeurs et les manières que dans aucun pays du monde.
1. Par la nature du climat et du terrain.
2. Le P. Duhalde, t. II.
Les femmês y sont ordinairement renfermées, et n'ont point de ton à donner.
”
[↩︎]
Source : Gallica
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Montesquieu,  Œuvres complètes de Montesquieu

“ Jupiter doit trop de plaisirs à l’empire des Amours pour ne pas contribuer au bonheur de la Déesse ; elle vole à Paphos, maîtresse de rendre à la fleur qui lui est si chère, la figure et les charmes d’Adonis ; mais elle ne le peut que dans cette île, et ses plaisirs seraient moins dignes de Vénus, si elle pouvait faire ce changement dans tous les lieux soumis à sa puissance. Qui peut se plaindre de l’absence, Vénus s’éloigne d’Adonis ?
Il est vrai, ajouta Zélide, que dans l’absence et les autres peines attachées à l’Amour, il faut connaître les douceurs qu’on peut en retirer.
”
[↩︎]
Source : Wikisource
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Montesquieu,  Oeuvres de Montesquieu avec des éloges… (1826)

“ Plus loin je vis cent femmes d'Egypte qui avoient les yeux et les cheveux noirs. Leurs maris étoient auprès d'elles, et ils disoient : Les lois nous soumettent à vous en l'honneur d'Isis ; mais votre beauté a sur nous un empire plus fort que celui des lois : nous vous obéissons avec le même plaisir que l'on obéit aux dieux; nous sommes les plus heureux esclaves de l'univers.
Le devoir vous répond de notre fidélité ; mais il n'y a que l'amour qui puisse nous promettre la vôtre.
”
[↩︎]
Source : Gallica
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Montesquieu,  Voyages de Montesquieu… (1894-1896)

“ A l'opposite de la façade sont des galeries d'ordre dorique, avec un autre ordre dessus, qui sont du dessin de Bramante, et très beaux (sic) . La chose de l'art, la plus considérable dans l'Église, ce sont les bas-reliefs qui sont autour de la santa 2?
Casa, qui sont du Sansovin et autres auteurs, avec la plus riche architecture, pour la beauté des ornements, qu'il soit possible d'exécuter. C'est un ordre corinthien, avec des festons et des grands reliefs dans les cadres et des statues des Prophètes et des ?o Sibylles dans les niches. C'est une des belles choses
que j'aye vues.
”
[↩︎]
Source : Gallica
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Œuvres de Montesquieu

  • De l’esprit des lois
  • Esprit des lois : livres I-V (2e éd.)
  • Pensées et Fragments inédits de Montesquieu
  • Lettres persanes
  • Oeuvres de Montesquieu avec des éloges, analyses, commentaires... par Destutt de Tracy, Villemain, Walckenaer,...
  • Mélanges inédits de Montesquieu
  • Oeuvres posthumes de M. de Montesquieu
  • Œuvres complètes de Montesquieu
  • Voyages de Montesquieu. Tome 2
  • Le Temple de Gnide
  • Deux opuscules de Montesquieu
  • Histoire véritable (1892)
  • De l’esprit des lois, Garnier, 1777

Termes fréquents

  • Romains
  • monarchie
  • religion
  • mœurs
  • esclaves
  • gouvernement
  • démocratie
  • nation
  • climat
  • fiefs
  • citoyens
  • enfans
  • l'Europe
  • commerce
  • Rome
  • servitude
  • la Chine
  • Indes
  • magistrats
  • puissance
  • princes
  • luxe
  • richesses
  • esclavage
  • tributs
  • liberté
  • vertu
  • monnoie

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